Chers visiteurs, voici un article résumé de notre voyage, paru dans catalyse, le site des Aînés. Vous pouvez aussi en voir un tout ptit bout sur le site national, mais ça fait rien, c'est quand même la classe...

Sur le site national (le lien) : http://lelien.eeudf.org/index.php?post/2009/09/Le-projet-des-aines-de-Montbeliard

Sur catalyse : http://catalyse.eeudf.org/2009/09/04/latlas-de-montbeliard/

• L’exploration

C’est sur le Maroc que les Aînés du Pays de Montbéliard (en Franche-Comté) ont jeté leur dévolu. Plus précisément dans l’Atlas, massif montagneux qui s’étend sur une très grande partie du pays, où vivent les Berbères.
C’est grâce à une association que nous avons pu trouver et réaliser notre projet. Cette organisation, pourtant de taille modeste, « Amitié Berbère », se rend plusieurs fois par an depuis maintenant des années dans le massif du M’Goun, situé dans la partie centrale du Haut-Atlas, notre destination. Avec leur aide, le niveau de vie des habitants peut progresser : On y a construit une école, on y apporte du matériel (panneaux solaires, médicaments, fournitures scolaires… et même une machine à coudre !). Plus que dans le reste de pays, on assiste à un énorme décalage : les berbères vivent essentiellement des travaux des champs, et parfois du tourisme, qui commence à se développer dans l’Atlas, tout récemment.

• Un partenaire

Nos contacts nous ont apporté une grande aide : Cette fameuse association « Amitié Berbère », puis nos contacts locaux : notre interprète et guide Aziz (qui parlait l’Arabe, le Berbère et le Français) et son ami Saïd qui ont fait tous deux le voyage avec nous et enfin notre muletier Ali. Ils ont tous fait un travail formidable et nous ne les oublierons jamais.

Notre voyage était grossièrement réparti de la façon suivante : les deux premières semaines seraient passées dans l’Atlas, puis la troisième semaine serait consacrée à la découverte du reste du pays (et de notre repos !)
Après une ascension plus que tumultueuse dans le Haut-Atlas, le périple s’est fait à pied depuis le dernier village accessible en véhicule motorisé. Quelques mules portaient le gros de nos bagages, ainsi que les habits à acheminer, la nourriture et surtout de l’eau potable que l’on pourrait effectivement appeller dans ces conditions « Or bleu »…
Durant cette première partie du voyage, nous avons vécu avec les habitants, partagés leur mode de vie, leurs coutumes. Nous avons même contribué aux travaux des champs, dont les méthodes sont antiques : fauchage manuel, labourage à traction animale…

Nous avions donc convenu avec l’association que le plus « urgent » serait d’apporter des anoraks et des blousons pour les enfants pour l’hiver. S’il fait plus que chaud en été là-bas, il tombe environ deux mètres de neige l’hiver ! Les chemins sont bloqués et doivent être déblayés pour le commerce, ce qui représente un travail énorme. Nous avons fait huit heures de marche entre notre point de départ et le premier des villages de la vallée…
Nous avions également comme projet de réaliser un court métrage sur l’utilisation du bois dans l’Atlas, car c’est une denrée très rare, là-bas. Dans le but de le diffuser ensuite chez nous afin de sensibiliser les gens à sa protection.
Nous avons marché pendant des heures dans un paysage gigantesque. De l’aridité la plus forte aux coins de verdures et d’ombre crées par la rivière qui serpente dans la vallée. Nous avons longés des précipices, franchi des gorges avec de l’eau à mi-cuisse, guidés par Ali et ses muletiers, chacun garde des souvenirs extraordinaires de ce voyage dans ce que nous avons baptisé le « deuxième Maroc ».

• Les aléas de l’aventure

Les petits moins : malgré nos précautions, nous avons presque tous été malades, ce qui était à prévoir avec le changement de nourriture, de température, à cause de l’eau, etc… heureusement les remèdes-miracles de notre infirmier nous on vite rétabli ! Mais nous avons du écourter « un chouïa » notre séjour dans l’Atlas.

Concernant le film, nous n’avons pas assez pris de temps pour sa réalisation, nous n’avons que peu de plans potables. De plus, nous sommes tombés en rade de batterie au cour de notre séjour dans les montagnes, malgré notre panneau solaire portable, ce qui n’a guère arrangé les choses…

• Mais aussi du tourisme

Durant la deuxième partie, nous avons découvert les charmes du Maroc : de Ouarzazate, « la porte du désert » à Essaouira, où il ne fait que 25°C (!), en passant par Agadir et bien sûr Marakesh, là c’était plus cool. Il faut dire qu’avec la chaleur ambiante, les activités sont limitées… Nous avons beaucoup visité : les célèbres Souks, le bord de mer et les ports, les musées, les casbah, et même un studio de cinéma ! Cela vaut largement le détour…

• Bientôt leur témoignage

Tout ce que nous avons vécu, nous sommes prêts à le partager. Si nous n’avons que peu de vidéos, nous avons pris pas mal de photos et nous nous apprêtons maintenant à vivre notre étape de témoignage comme il se doit. Chacun d’entre nous a beaucoup de choses a raconter.

• Des souvenirs pour la vie

Nous avons conservé une farandole de souvenirs et d’émotions fortes. Des paysages et des décors grandioses, sauvages inconnus. Une culture très différente de la notre par ses modes de vie, ses coutumes, sa religion et encore beaucoup d’autres choses. Éclats de rires et moments forts partagés avec des personnes qui nous ont aidé et que jamais nous n’oublierons.

Merci à l'association "Amitié Berbère" pour ses bons conseils, ses tuyaus et son experience.

Merci à Aziz et Saïd pour leurs explications, leur aide, leur amitié.

Merci à Ali pour son hospitalité, sa gentillesse et son travail formidable.

Et puis merci à ceux qui nous ont permis de partir : ceux qui nous ont subventionné, ceux qui ont acheté le bon jus de pomme, les calendriers, les chocolats et tout le tintouin, merci à ceux qui ont donné les vêtements, aux parents, aux amis et aussi à notre répondant...

Et voilà, le voyage dans l'Atlas est fini, c'était la partie grandiose du voyage, avec des paysages magnifiques, arides et immenses. Nous avons marché près de 7h de marche le premier jour, heureusement, c'était le plus dur, les autres jours étaient moins éreintants !! Nous avons donc "largué" nos anoraks au petit et premier village de Talat Righane. La nous avons logé pendant trois journées chez notre mulletier, Ali. Nous avons également pris part aux travaux des champs, en guise de "remerciements" en quelque sorte ! Nous avons fauché des champs de blé, construit une aire de battage pour le blé... les habitants trouvaient très amusants qu'on les aide, ils n'en avaient certes pas l'habitude ! Cet échange a été très riche. Nous avons donc poursuivi notre route dans le haut atlas, rencontrant chaque jours de nouveaux paysages, de nouvelles personnes, etc... tout raconter serait un peu laborieux tout de meme. Quelques uns (en fait, tout le monde sauf Perline et Maxime) sont tombé malades (fièvre, gastro... ) mais chacun se rétablit rapidement. A l'heure qu'il est, tout le monde va très bien ! Après avoir terminé notre périple, nous nous sommes rendus (en bus puis en taxi) à Tinghir, dans la maison familiale d'Aziz, notre interprete, elle était très grande, propre, fraiche... ca nous a fait bizarre, le matin, nous traversions encore la rivière M'Goun à pied avec nos mules et tout le tralala ! Nous quitté nos mulletiers avec regret, ils ont fait un travail de fou ! Nous avons visité la ville, le souk, et visité les gorges de Toudra, a 15 km environ. Après 3 jours passés dans la maison d'Aziz, nous sommes partis direction Ouarzazate, jolie ville ou nous logeons comme des rois à l'Hotel Royal (4€ la nuit...). Hier nous sommes allé visiter la grand Kasbah de la ville (nous avons d'ailleurs failli ne pas en sortir, ah ah !) puis le musée du cinéma. Ce matin, c'était les studios de Ouarzazate avec des décors de films assez célèbres ! En résumé, tout se passe bien et il fait très chaud. Le voyage touche bientot a sa fin avec cette partie "tourisme". Chaque jour passe très vite ! Voilà pour un rapide résumé, j'ai pris beaucoup de photos et Benoit.F également, nous avons hate de vous les montrer ! Cela vous en dira certainement plus qu'un long discours ! Voila, le bonjour à tous et à bientot !

Pour les parents qui se rongent les ongles, lisez ceci :

Nous sommes bien arrivés à l'aéroport d'Orly hier en soirée. Après avoir exploré de fond en comble ce merveilleux édifice, certains ont fini par s'endormir, d'autres on préféré faire des courses de porte-bagage pour s'occuper. Très tot le matin, nous nous réveillons au milieu des voyageurs, il est environ 4h00 du matin. Après une longue attente et un passage aux rayons X, nous embarquons enfin ! Pour beaucoup c'est une grande première.

Nous arrivons vers 9h30 à Marrakesh, peu après, nous sommes accueillis à bras ouverts par Aziz et deux de ses amis, Saïd et Aziz. En voiture, nous nous rendons à l'Hotel Médina pour poser les bagages et troquer les chaussures de marche contre des nu-pieds. Cela fait, nous nous rendons chez Saïd pour un mémorable repas traditionnel (le fameux couscous marocain !), preuve de la grande hospitalité des habitants. Et là, en ce moment, tout le monde fait la sieste dans une pièce remplie de coussins et de canapés, pour rattraper la courte nuit de l'aéroport, d'ailleurs, ils dorment tous comme des sacs, et c'est le moment pour moi de les rejoindre !

Moralité : jusqu'ici, tout se passe comme prévu, pas d'inquiétude !

A bientot pour de nouvelles aventures !

Une fois n’est pas coutume, voici un compte-rendu de Perline, après la réunion du 9 Mai, à Seloncourt. Nous avons beaucoup parlé de la troisième semaine de notre projet, plus axée sur la découverte du pays et des visites. Perline avait d’ailleurs préparé à l’occasion, un remarquable dossier intitulé '”le voyage et nos visites”.

Un compte-rendu vaut mieux qu’un long discours, voilà de quoi nous avons parlé durant cette réunion :

COMPTE RENDU DE LA REUNION DU 09 MAI 2009 A SELONCOURT

I) Point septembre 2009

Laurent, Beni, Pierre : Responsables éclaireurs, unité du Châtelot

Loki et Sophie : Responsables louveteaux, unité de Rives du Doubs

Benoit F : Responsable louveteaux ou éclaireurs, unité de Rives du Doubs

Antoine, Maxime : ??

Perline : Responsable éclaireurs, unité de Belfort

II) PROJET MAROC

Nous avons besoin d’argent pour boucler notre projet. En effet, il nous manque entre 2000 et 2500 euros.

1) Dossiers de subventions

Ils sont terminés et nous seront fourni d’ici peu par Sebi. Dès lors, il faut les imprimer et les envoyer.

Perline : Rotary Club + marie de Belfort

Loki : Mairie Audincourt

Sophie : Mairie Voujeaucourt

Laurent : Mairie Longevelles et Mairie St Maurice

Pierre : Mairie Colombier fontaine

Benoit F : Mairie Valentigney

Antoine : Mairie Héricourt

Maxime : Mairie de Lougres

Beni : Mairie d’Allondans

Sebi : Mairie Seloncourt + Synode

N’hésiter pas à demander à vos parents et amis s’ils connaissent des associations où vous pourriez envoyer des dossiers de subventions.

2) Les OP fric

- Nous vendrons des brioches en porte à porte durant le week end du 23 et 24 Mai. Prévoyez des sacoches pour mettre l’argent. Sébastien est chargé d’aller les chercher dans l’établissement de son choix !

- Quelques uns d’entre nous (ceux qui se sont proposés) peuvent aller nettoyer les fontaines d’Allondans le week-end prochain (16 et 17 Mai) voyez avec Beni. (se reporter au merveilleux article traitant du nettoyage de ladite fontaine d’Allondans)

III) Les taches à faire par personnes

- Beni, il faut que tu fasses une liste du matériel collectif à emporter au Maroc. (prend en compte le fait qu’il faut amener une bâche). Le panneau solaire sera prêté par le groupe local du Châtelot qui en achète un.

- Laurent, il faut que tu fasses une liste de tout ce qu’il faut pour ton infirmerie. Sébastien se chargera de trouver ce qu’il nous manque. Et fait un topo de ce que nous avons comme pastilles pour purifier l’eau (demande autour de toi et dans la BAU)

- Loki, il faut que tu fasses une autorisation de sortie du territoire.

- Koka, Envoie un mail à l’interprète et demande à François comment ça fonctionne pour les trajets taxi / bus / camion…

- Pierre, fais-nous un joli tract à glisser dans les brioches que nous allons vendre (c’était bien la peine !)

- Sophie, Fais ton passeport au plus vite, en ce moment, c’est la date limite.

- Perline, envoyer le courrier ensachage au super U Audincourt + Mandeure.

IV) Dernières recommandations

IMPORTANT : ACTIVER LA RECOLTE D’ANORAKS

*Votez TOUS pour le choix de notre 3eme semaine de découverte du Maroc.

Je vous rappelle que vous avez le choix entre : Vallée du Dadès, Vallée du Draa, Côte Atlantique, Sahara

Fonctionnement, jusqu’au samedi 16, donnez 2 choix (le premier étant votre préféré).

*Pensez à apporter 35€ du rallye pour le prochain WE.

(Pour plus de photos, se reporter à l’album correspondant !)

On voit ici que le projet se concrétise et il faut penser à boucler l’organisation à ce stade; car la date du 9 Juillet va arriver plus vite que l’on n’y pense !

Après cette réunion, nous partons dans les hauteurs de Seloncourt pour nous entraîner à la thèque, comme des oufs ! Après ces quelques instants de sport intensif ou même Loki fait des prouesses, nos ventres crient famine, et nous nous réfugions dans la forêt pour un petit repas au feu de bois pour finir la soirée, hum !

     THE END (Tatatsouin !)

Dans cet article moisi, des photos, mais pas beaucoup de texte, vous voulez que je dise quoi d’abord ? C’est le dernier jour, déjà hélas ! Heureusement, il fait plus beau que l’an dernier, et Perline ne se nourrit pas de boue !

La matinée est consacrée au rangement des coins d’équipe et du chalet d’intendance, youpi !

Vers midi, chaque équipe mange dans son coin, et Laurent grille des saucisses, sa spécialité ! Pendant que les autres ne glandent rien, ou prennent des photos, leur spécialité !

 

Le Loki des bois, en train de faire semblant de plier une toile de tente

Benoît lui, ne cache pas son inactivité

Heureusement que le patron vient faire un petit tour d’inspection pour nous secouer les puces. Notons Beni, au premier plan, dans la position parfaite du Responsable Matos en plein rangement : Assis dans les feuilles à coté de la malle, les outils traînant tout autour.

Il faut bien trouver une activité à Antoine et Loki : éh oui, comme ça, ils peuvent terminer leur jeu de rôle oral tout en servant à quelque chose, elle est pas belle la vie ?? On peut les voir en train de faire sécher la toile du sac de tente, pendant que Manon, affamée, mange une fourchette.

Une petite photo stupide, comme on ne s’en lasse pas !

Benoit et Loki, le ventre creux, attendent que Manon leur cuisine des bons petits pains perdus, miam !

Ensuite, on va au chalet vider les derniers restes de nourritures en toute euphorie, pendant que les éclais peinent à amener leurs malles pleines de ferraille jusqu’en haut de Cléron.

Et voilà les éclaireurs dans un dernier rassemblement, snif ! Notons François, qui porte la fameuse batte de thèque géante. Rappelons la fabuleuse victoire de Rives-du-Doubs au tournoi de cette année ! Dommage que ce soit la dernière fois (ah ah !)

En milieu d’après-midi, c’est l’heure de se quitter, ce qui nous attriste tous, comme on peut le voir sur la photo ! Cette année encore, que de souvenirs et de bons moments ! Bientôt viendra notre tour d’employer de serviles BAU pour baver toute la journée, vivement tiens !

Lecteurs, vos impressions, remarques générales sur ce Rallye ? Vos sentiments, meilleurs souvenirs, etc…

 

Stupeur ! Qu’est-il arrivé à Benoît ?! Le voilà qui s’est blessé en épluchant une carotte c’est malin, tiens !

Ah ah ! Mais non, n’ayez pas peur, Benoît s’est juste muni d’un petit accessoire en plastique, indispensable à tout zombie qui se respecte… En effet, ces bestioles dégénérées ont envahie Cléron et cherchent à contaminer le plus d’éclais possible.

 

 

Nous nous costumons avec les déguisements les plus hideux que possible, et après un petit coup de maquillage et de charbon végétal, nous filons flanquer la frousse aux éclais en les surprenant au lieu de rassemblement. Ceux-ci, pas apeurés pour un sou, forment néanmoins des équipes destinées à nous latter pendant toute l’après-midi, joie !

 

 

Chaque Zombie porte sur lui une partie d’un code que les équipes doivent réunir pour réussir. Petit à petit, les joueurs trouvent du matos pour mieux nous éliminer, comme des battes en mousse par exemple… Ils doivent également rapporter des images de ces fameux zombies grâce à une caméra (que Beni va s’empresser de nous faire parvenir pour qu’on se marre bien, ah ah !=

 

 

 

 

Ils doivent également recueillir des échantillons de BAVE (que nous produisons abondamment pendant toute l’après-midi) qu’ils doivent ramener à un scientifique afin de l’analyser pour tenter de trouver un antidote à cette étrange et dévastateur virus !

Mais avant, un petit paragraphe sur la substance qui nous en a tant fait baver : le Charbon Végétal, ou charbon dit “activé” !

Le charbon végétal fait partie de ces produits économiques, simples et efficaces qui n’intéressent guère le lobby pharmaceutique. Pourtant, il est reconnu depuis fort longtemps pour ses puissantes capacités de désintoxication de l'organisme.

Le charbon végétal est obtenu en calcinant à des températures très élevées du buis, du pin ou de la tourbe que l'on brûle une deuxième fois en y injectant cette fois-ci de la vapeur et de l'air. Ce procédé appelé activation a pour effet de créer sur la surface du charbon d'innombrables pores ou orifices microscopiques qui vont attirer les molécules des différentes substances chimiques que l'on absorbe, malgré nous, quotidiennement.

Il a été, en effet, démontré scientifiquement et médicalement que le charbon activé attire à lui (grâce à une réaction biochimique appelée adsorption, et non pas absorption) les résidus des médicaments, les stupéfiants, les alcaloïdes, les additifs alimentaires, les produits chimiques agricoles, les métaux lourds, les gaz, les détergents et les solvants organiques qui sont ensuite évacués par l'intestin. Le charbon activé est également extrêmement utile dans les cas d'empoisonnement alimentaires à la redoutable salmonelle ou au staphylocoque et il va même jusqu'à contrecarrer les effets du venin de serpents, des piqûres d'abeilles, d'araignées et d'anémones de mer. ( dans ces cas-là, faire une pâte grossière avec du charbon et de l’eau et en faire un cataplasme sur la piqûre ).

Pour ceux et celles qui veulent cesser de fumer, de boire ou de consommer des drogues, le charbon s'avère un allié précieux, car en adsorbant les substances chimiques, responsables de la dépendance, il permet de s'en libérer plus rapidement et plus aisément. Idem pour les intoxications que l’on subit à cause de l’environnement. En plus de désintoxiquer le corps, le charbon régularise les fonctions intestinales. Le tout en douceur. Il peut donc être employé avec succès dans le cas de diarrhées, de gastro-entérites, de gastralgies, d'aigreurs d'estomac, d'aérophagies, de flatulences (Benoît, prends-en !), ainsi que dans les états d'infection de l'intestin accompagnés de constipation et de fermentation intestinales (sympa !).

Mode d'emploi

On trouve le charbon végétal dans la plupart des magasins d'aliments bio sous forme de poudre en pots de 200 grammes. On verse une cuillerée à café de poudre dans un verre, on ajoute de l’eau en mélangeant le mieux possible, et on avale le tout, ça n’a absolument aucun goût. Pour éviter d’avoir la bouche temporairement toute noire, on peut le boire à l’aide d’une grosse paille. L'idéal est d'en faire des cures régulières de 3 semaines, voire plus si l’on se sent vraiment intoxiqué ou exposé à un environnement particulièrement pollué.

Pour faire le Zombie, c’est plus simple, il suffit de le croquer délicatement et de baver.

Le charbon végétal activé ne présente donc aucun goût, odeur ou effet désagréables (tu parles !). Il est très bien toléré, même à doses élevées. On ne lui connaît aucune contre-indication (sauf qu'il ne doit pas être absorbé lorsqu'on prend des médicaments ou la pilule anticonceptionnelle , puisqu’il « nettoie » tout, et qu'étant un anti-diarrhée naturel, il peut chez certains causer un peu de constipation). L'adsorption étant un phénomène rapide, il est efficace dès son ingestion ( essayer en cas d’indigestion justement en en prenant une cuillérée à soupe ) et il peut être administré par n'importe qui.

 

 

                       

 

Intéressant, hein ?

Voyons maintenant le résultat de nos BAU transformés en joueurs de black-métal symphonique :

 

    

 
Manon a elle aussi un petit accident… on vous épargne le maquillage pour l’instant !

 

 

Le nouveau Dimmu Borgir…

 

 
Laurent, le pestiféré de la forêt

 

 

Voilà encore des photos trashs, un spectacle auquel ont assisté les éclais, victimes des porteurs de virus qui les harcèlent à tout moment, groar !

Le gagnant du meilleur “role-playing", Antoine.

 

 

Hum ! Perline, tu es radieuse aujourd’hui !

 

 

Grunt !

 

 

Une troupe de zombie attaquant avec ardeur le pauvre François, terrorisé.

 

Sans commentaire : tout simplement zombifiant

 

Maxime, pour le “role-playing” le plus moisi : en plein jeu, rien ne l’empêche de préparer sa damnée potée médiévale ! En plus, sa maman a du lui crier dessus pour son T-shirt !

 

 

Loki, en train de tirer une tête vraiment zarb, à force de manger du charbon végétal…

 

Beni, telle une loque au milieu du chemin, tend une embuscade zombie, habilement dissimulé sur des graviers.

 

Voilà un petit zombie criard… ah non ! C’est le bébé de Fanny, ah ah excuses-moi !

 

Antoine en train de dissuader une équipe de sortir de sa zone de protection, en mâchant un bout de tissu bleu (on appelle ça un “vie” !)

 

 

Au bout de quelques heures, les zombies se morfondent et se lassent de baver. Ils décident alors de s’adonner à un acte terroriste et traumatisent un conducteur innocent, mouah ah ah !

 

Le soir, nous redevenons un (trop) court instant de jeunes Aînés virils et vertueux et nous allons disposer des sacs remplis de vivres dans la forêt. Après les avoir attachés avec plus ou moins de facilité aux branches, nous allons manger de délicieux croque-zombies préparés par Fanny ! qui nous font oublier les litres de baves, les coups de battes et la farine dans les oreilles. Mais quelques chips plus tard, nous filons vite traumatiser les équipes en plein repas trappeur (où l’on utilise pas de couverts… ou le moins possible en tous cas). Après une bonne petite râclée, vient le jeu du soir.

Là, nous changeons de rôle, pour devenir des agents spéciaux sans scrupules qui veulent annihiler éclais et zombies sans distinction. C’est plus marrant, car c’est à notre tour de chopper des éclais, niark niark !

Finalement, la police débarque, et nous sommes contraints de nous replier dans le merveilleux fort que nous avons construit le matin-même, eh ouais, ya même pas de photos, ça pue !

Pour finir, le fort éclate an lambeaux, et les éclais prennent un malin plaisir à le réduire en miettes. Bah, de toute façon on l’avait construit en 10 minutes (ahah). Munis de l’antidote, les voilà sauvés ! Tout est bien qui fini bien ! Pour nous aussi, car nous allons nous exploser la panse au cinquième (repas ! LE cinquième !) ou les bubble-gums et les chips rassis coulent à flots ! Quelle journée !

 

                         

 

Voilà présentées dans cet article, les coulisses de la douce vie d’un Aîné squattant un Rallye régional… j’espère que cet article tombera sous les yeux de beaucoup d’éclais, et leur donnera envie de devenir Aîné ! Sachez d’abord qu’un Aîné est quelqu’un d’étrange, voir très dérangé. Encore plus s’il vient du Pays de Montbéliard et ses environs ! Il passe souvent pour ringard ou bizarre auprès d’un éclais, encore plus auprès d’un louveteau, et comme un esclave (voir de la chair à canon) auprès des responsables, toujours prêts à embaucher un Aîné s’il faut construire un fort, ou animer un jeu, ou baver jusqu’au jugement dernier.

Heureusement, l’Aîné aime ça !

 

Tout d’abord, une fois que l’Aîné a construit en quelques heures seulement, un coin d’équipe propre, confortable et fonctionnel, il peut se permettre des heures de glandouille qui lui paraissent hélas trop courtes, et cela pendant que les éclais peinent à faire tenir une table à feu debout. L’Aîné, appelé plus communément “BAU” en Franche-Comté en tous cas, forme avec ses compères, une supère bande de potes. Parmi eux, chacun à sa spécialité, son coté unique, et heureusement, sinon l’Aîné s’ennuierait grave !

 

Sur cette photo, on peut distinguer à loisir de nombreux spécimens en train de glander, entourant un répondant.

 

De temps en temps, un des Aîné(e)s les plus sérieux va faire un tour loin en contrebas, faire semblant de voir si tout se passe bien chez les éclais, en adressant des paroles de réconfort psychologique à ceux de son unité respective. Le tout pendant qu’un autre Aîné le prend en photo pour immortaliser le geste, mais il est trop souvent incompris, ralala !

 

Mais en haut, la fête bat son plein au rythme d’une guitare endiablée, un accessoire idéal pour avoir l’excuse de ne rien faire, au même titre qu’un appareil photo. Ci-dessous, Antoine… rappelons son poste action de “boute-en-train”.

 

Mais le BAU ne peut rester toute une journée a s’amuser sans rien manger. Un moment venu, il doit préparer sa bouffe. Heureusement, il y en a toujours un dans le tas qui sais bien cuisiner, c’est comme ça ! Là, c’est celui qui regarde méchamment au premier plan :

 

Notez que souvent, un petit nombre bosse, pendant que le grand nombre regarde… c’est la loi de la nature, impitoyable ! (Oh ?! C’est Laurent et Beni qui bûchent ? Etrange, ah ah !)

 
Urk ! Ah ah !

 

Pendant ce temps, Laurent et ses deux apprentis préparent à manger sous les directives de Maxime le cordon bleu :

“Coupez moi ça en rondelles, les gars !”

 

 

 

C’est l’heure du repas et les BAU vont se régaler de tas de nourriture délicieuse, pendant qu’en bas, on mange de la salade au sable et du poisson carbonisé. Mais avant de se délecter, le BAU met un point d’honneur à chanter très fort avant de manger ! Cela fait partie de ses petits plaisirs quotidiens.

 

 

 

“Hirsute” (adj.) : hérissé de poils plus ou moins longs.

 

Le BAU fait rarement la vaisselle. Hé oui, y’en a toujours un dans le tas qui la fera à sa place… ou pas d’ailleurs, quand il en a marre, il se contente de jeter les gamelles par terre, les scolopendres se chargeront de nettoyer.

 

 

Après le repas, le BAU va en général voir chez les responsables ce qui se trame, s’ils n’ont pas besoin de  lui pour construire un fort, ou un truc dans le genre… ou simplement discuter avec eux.

  

 

 

 

Pendant ce temps, ceux qui sont restés au coin d’équipe s’occupent comme ils peuvent. Cette année, nous avons fait la découverte d’un squelette animal non identifié, à quelques pas seulement des tentes. Les fouilles on rapidement été mises en place :

 

Le crâne de la bête en question : On distingue très nettement l’orbite et la mâchoire inférieure, très proéminente. L’animal devait probablement mesurer dans les 5 mètre, de la queue à la tête.

 

On peut voir ici que le chantier avance avec sérieux, sous la direction du contremaître Valenza, qui dirige ses esclaves indiens avec fermeté… (“Missa pas f’apper moi !” Klunk ! Aïe,  me’ci maît’e)

 

 

 

Néanmoins, l’Aîné sait s’adonner avec rigueur à des passes-temps plus constructifs, je veux bien sûr parler des REUNIONS, qui ponctuent chaque week-end, chaque réunion…

 

Quelques photos, mais le contenu est comme toujours top-secret !

 

 

Admirons Perline, en train de nous rédiger un petit compte-rendu dont elle a le secret !

 

Admirons Loki, avec le beau bonnet de Perline, en train de se nourrir de miel…

 

… Pendant que Beni et Laurent, pensif, réfléchissent à fond (notons Benoit, qui s’aide d’un rail de farine pour trouver l’inspiration, ce qui paraît indigner grandement Sebi !)

 

Le reste de la journée d’un BAU est fait de thèque, de jeux et autres activités ludiques. Eh oui, même les Aînés on besoin de s’entraîner. Voilà a peu près ce qu’est une journée d’un BAU en rallye, lorsqu’il se rassemble en groupe. Mais arrive un moment ou la rencontre avec les éclais est inévitable, meuuargl ! A suivre…

 

La suite ! La suite !! La suite !!  <---- J’le met à votre place, vous serez quittes de lâcher des commentaires moisis de ce genre !! Exprimez votre opinion, que diable ! Z’yva !

C’est avec un temps merveilleux que se rejoignent cette fois-ci quelques membres de la BAU : Il y a Beni, Laurent, Pierre… ô stupeur ! Je n’avais pas remarqué : Seul le Châtelot est présent ! Ca alors ! Quelle surprise !

Nos trois compères se rendent le cœur léger à Allondans, afin d’y nettoyer son antique Fontaine, datant probablement du XIXème siècle !

Il s’agit d’une fontaine en pierre de taille, munie d’un toit rénové il y a peu, soutenu par quelques poteaux métalliques, comme on peut le voir sur la photo ci-contre.

 

 

 

Mais avant de poursuivre, intéressons-nous de plus près à ce charmant petit village qu’est Allondans, le berceau originel de Beni…

 

La commune d’Allondans se trouve à l’entrée de la vallée du Rupt, traversée par le ruisseau du même nom. Trois exploitations agricoles y sont en activité pratiquant la production laitière et l’élevage. On remarque le temple datant de 1848, l’ensemble Mairie-école de 1822, deux fontaines lavoirs très typiques de la vallée. Sur la commune est implanté le chenil fourrière géré par la s.p.a. et le District Urbain du Pays de Montbéliard.
Être à la campagne à deux pas de la ville est un privilège inappréciable, avec une magnifique forêt de 200 ha, une campagne verdoyante sillonnée de sentiers pédestres, une société de chasse et de pêche pour des loisirs agréables. On appelle les habitants d’Allondans sont appelés les Amondanais.

 

Equipés de râteaux, de pelles, de fourches, de seaux, de bottes, de racloirs et autre ustensiles nécessaires au nettoyage d’une fontaine…

Il s’agit d’abord de détourner l’eau de la fontaine, grâce à un tuyau prévu à cet effet qui se trouve sous le toit de la fontaine, mais que des crétins on jeté dans l’eau, les voilà plein de limon, mais ce n’est que le début, joie !

La première tâche consiste à enlever le plus d’algues puantes de la fontaine, à l’aide de fourche, mais les râteaux sont bien plus pratiques ! Miam ! Nous les transvasons ensuite dans une brouette, elles ferons un excellent compost !

 

Après, nous récurons le fond à l’aide de râteaux, pour écouler la vase une fois la fontaine asséchée. C’est la partie favorite de Beni !

 

Une parfaite démonstration d’experience et de coordination :

 

Laurent est le roi de la fange ! En plus, il manie la brouette comme personne !

 

Notez l’air enjoué de Beni, pendant qu’il brosse les parois de la fontaine, la seconde étape. Eh oui, on paierait très cher pour être là !! Dire que pendant ce temps, les autre BAU font autre chose, les inconscients !

 

Youpi !

 

Regardez comme on s’éclate !! Regardez ce que vous avez loupé, ah ah ah !

 

La fontaine d’Allondans abrite tout un écosystème : Voici une belle photo prise par Beni (les oiseaux, ça le connait !)

 

Laurent, en train de nettoyer les alentours de la Fontaine…

Entre deux râclures de limon, nous assistons à la confection du miel, chez les grands-parents de Benoît. Nous avons même le droit d’y gouter ! Comme le dit Alain, “Il s’en passe des choses dans ce garage !”, eh oui, il y a un an, nous découvrions pour la plupart les secrets de la fabrication du jus de pommes…

D’ailleurs, voici un site où l’on peut voir comment se passe la fabrication du miel, avec un type qui ressemble vite fait à Pov, en plus vieux et plus maigre : ICI

 

Oh non, la fontaine est déjà nettoyée, c’est passé si vite !! Quel plaisir de contribuer au projet de manière si amusante ! Beni n’a plus qu’a remonter sa brouette !

 

 

Après avoir rangé et lavé nos outils, la fontaine resplendit de propreté, une fois remplie à nouveau ! Quel travail de pro ! Bon, sur la photo du bas, on dirait pas, mais si. Et regardez nos mines réjouies, après ce travail bien fait. C’est sûr, on partira au Maroc grâce à ce haut fait ! Vive nous !!

 

        Ci-dessus : les Seuls les Vrais… 

 

Voilà ! Une fois de plus, le Châtelot triomphe de l’adversité ! Le Châtelot nettoie les fontaines ! Quand personne ne peut, le Châtelot est là ! Quand personne n’y arrive, le Châtelot surpasse ! Mais surtout, le Châtelot sait rester humble et modeste !

Ralala mais quel glandu ce secrétaire-reporter ! Et personne ne lui crie dessus, c’est super ça ! Mais bon, c’est fini, maintenant, au boulot !!

Mesdames et Messieurs, direction… Cléron !

Aaaah ce lieu si cher à nos yeux, Cléron et sa forêt, Cléron et sa rivière, Cléron et ses Zombies pestilentiels qui ont envahi les lieux… Eh oui, cette année, le floklore, c’est l’univers de “Résident Evil”, où un virus contamine des êtres humain pour les transformer en être amorphes et lents à la recherche de chair humaine, ô joie !

Après avoir transformé la 2-5 de Maxime et avoir bourré son pot d’échappement de pissenlits, les autres nous rejoignent peu à peu (sauf Perline, qui a loupé son train ! Hé hé !) et nous investissons les lieux, au même endroit que l’an dernier d’ailleurs !

Peu à peu, les Eclais arrivent, constatant un bel exemple de puérilité venant des BAU…

 
Beni à l’air très heureux de retrouver le lieu de vie de l’an dernier…

Benoit s’extasiant devant la flore locale…

Au boulot maintenant !

Antoine creusant une fosse d’aisance…

Après cette matinée de travail acharné, les BAU épuisés s’autorisent une petite pause-repas…

C’est alors qu’entre deux tranches de jambon suédois, nous sommes rejoints par Manon et Fabien, de la BAU de Châlon-Mâcon, qui partagerons de délicieux moments de zombification et de bave avec nous !

Enfin, Perline nous rejoint, accompagnée de son chauffeur personnel, Sébastien.

Maintenant, fini la rigolade, au travail. Telles des constructions Playmobil, nous remontons les installations de l’an dernier, qui nous attendaient gentiment, en un tas de planches et de pieux pleins de crottes d’écureuils.

Quel activité règne maintenant dans le petit bois de Cléron. Loin en contrebas, les éclais font de même, mais moins bien, ça c’est sûr ! Surtout ceux de Rives-du-Doubs, heu !

“Humpf ! Ces constructions Lego pèsent vraiment trop lourd !” s’écrient Perline et Antoine.

Benoit a le visage défiguré par l’effort. Ou alors, il est en train de se plaindre. Ou encore pire, il insulte le secrétaire-reporter.

 
Ah ! Ca me manquait d’écrire toutes ces stupidités, tiens ! Regardez cette belle photo pleine de mains et de doigts, ci-dessus.

Eh oui, ça bosse dur ! Regardez-moi cette belle photo !

Admirez encore cette belle photo, où le labeur est roi. Bon, en regardant d’un peu plus près, on voit que tout le monde ne sert à rien et s’accroche solidement à une perche pour se donner une impression de travail, mais à part Beni le roi du chlorate méplat, c’est la grosse glandouille !

Belle démonstration d’amitié et de confiance, par Laurent et Loki (enfin surtout Laurent), qui sont en train de monter les piquets de la table à feu, pendant que les autres sont toujours collés à leurs perches,en arrière-plan. Notez les rangers de Loki, qui essaye d’avoir l’air autoritaire.

Voici maintenant deux photos de Benoit le Koala, en train de travailler. Je vous conseille d’en profiter :

C’est dur d’être un BAU ! Mais grâce à ça, tu pourras ne rien faire d’autre du rallye, Benoît ! Ni la vaisselle, ni la cuisine, etc… c’est pas beau la vie ?

Une belle contribution, de la part de Châlon-Mâcon, c’est beau !

En une après-midi, le lieu de vie renaît de ces cendres, et quel beau temps en plus !

Juste avant de crever, la batterie de mon appareil m’a tout de même permis de réaliser cette fabuleuse petite histoire.

Maxime : -“Enfer et Putréfaction ! Foutre de Shakra, j’ai perdu mon Badge “RS” dans cette pelouse pendant le jeu, me voilà bien. Sebi va me démonter s’il apprend ça !”

Pendant ce temps :

Antoine : -“Pom Pom Polom… Hé ?! Qu’est ce que c’est ? Un… Badge “RS” ??!”

-Hum, étrange. Je me demande à qui cela peut t-il bien être !

Antoine : -Hey ! Maxou ! N’aurais-tu pas perdu… ton Badge “RS” ?
Maxime : –Mais oui ! Tu l’as retrouvé ? Tu me sauve, la vie, sacré Antoine, va !

Maxime : –Ouf ! Je me sentais tout nu !
Antoine : -Grâce à moi, tout le monde verra que tu as passé ta promesse, ah ah !

Maxime : En tous cas, merci à toi, Antoine, pour la peine, tu finiras certainement à “la Cude” un de ces quatre !
Antoine : J’y compte bien. “Grosse Murge !”

Et c’est sur cette splendide scène de fraternité que je clos ce stupide article !

Remerciements :

Maxime, dans le rôle de Maxime
Antoine, dans le rôle d’Antoine

Figurants : Perline, Benoit (cases 4 et 6)