Laviron !
Cette fois-ci, c'est dans le paisible village de Laviron qu'a lieu notre troisième réunion. Après un machiavélique covoiturage, nous arrivons enfin à destination. Nous avons loué un gîte, afin de nous plonger dans la solitude, loin de la ville et des bruits de klaxon intempestifs. Arrivés devant la porte, pas de clé, stupeur ! Sebi n'est pas encore arrivé ! Heureusement, après un dialogue charismatique avec le gardien, nous réussissons à nous munir de la clé salvatrice. Sebi choisi ce moment pour arriver, avec Laurent, Benoît (le Héron) et Sophie à son bord. Maxime et Cindy ne viendront pas, nous versons une petite larme en pensant à eux.
Une fois ce petit instant de deuil passé, nous nous ruons à l'interieur, car ça "caille sa mère", dehors. Nous déchargeons la voiture de Sebi, et une fois un bon petit feu allumé (dans le poêle), tout le monde saute sur la bouffe (photo de gauche) et le sol se remplit de miettes en quelques secondes, au grand bonheur de Sebi, qui en profite pour nous conter une histoire moralisatrice,
et quelquechose à propos de badges "RS", Houhouhou ! (il a raison, nous sommes des gros glandus !)
Nous filons ensuite nous installer, plus ou moins honteux, dans les chambres spacieuses du haut, voila qui nous change de Fesse-Villers !
Le temps de s'impregner de la douce odeur qui règne dans ce gîte, Sebi nous rappelle (quel tyran !), et nous allons jouer dehors, Yepeeeeeee !
Petit aperçu :
De délicieux jeux alliant compétitivité, subtilité, sport, réflexion, culture, humour...
Nous terminons enfin ces olympiades rocambolesques par des concours de bras de fer acharnés (photo de droite). D'ailleurs, je ne me souviens plus qui a gagné...
Ensuite, nous montons dans les chambres, et sur un fond de didgeridoo, nous entrons en transe, en contact avec les esprits, Houngawawa ! Après, pour nous ressourcer, nous avons droit à un temps de réflexion obcène que Sebi (toujours dans les mauvais coups !) nous a concocté, le fripon ! Tout le monde se livre alors à d'habominables aveux, mais je n'en dirai pas plus, tellement c'etait obcène !
Le contact à la réalité est brutal : Il faut préparer la graille. Péniblement, quelques bonnes âmes s'extirpent de leurs couvertures où ils s'étaient logés pour aller nous préparer de bons petits plats.
Laurent nous fait ainsi de la salade, sa spécialité, alors que Benoît cherche un petit pot de sel humide, sa spécialité.
<----- Mais quelle grosse touffe !
Pendant ce temps, tout le monde glande, en haut, certains batifolent(Perline=Corruptrice), d'autres font les cakes ou font de la musique :